La visite effectuée en Balagne par le préfet de Corse Madame Chevalier le 24 août dernier a sans nul doute révélé l'un des enjeux des élections municipales de 2020 : l'installation massive de migrants dans les communes de Corse orchestrée par les services de l'état français. Celui-ci s'appuiera sur la collaboration active du nationalisme institutionnel insulaire qui, au cours de l'été, a réaffirmé sans équivoque son soutien au trafic de migrants organisé par les groupes islamistes, les mafias et les ONG mondialistes. Au cours de la visite préfectorale, la commune de Belgudè, qui accueille des "opposants syriens" récupérés par la France a été citée en exemple. Le message adressé à la population est limpide.
La politique de "peuplement" menée par le régime de Paris, annoncée dès 2013 par le ministre de l'intérieur Valls, visera également la Corse, ciblée en tant que région à forte identité posant un problème politique.
Le business des migrants génère des flux financiers considérables, en provenance notamment de l'Union Européenne. L'on peut donc s'attendre à la multiplication des vocations "humanistes" chez nombre d'élus locaux, via des amicales pressions des services de l'état et du nationalisme institutionnel. Les récalcitrants étant eux soumis aux campagnes de diabolisation des médias mainstream et des officines immigrationnistes.
Les communes sont donc en première ligne sur le front des "opérations migrants".
Très majoritairement hostiles aux politiques d'immigration de masse menées par l'état français, les Corses se doivent de rester vigilants et mobilisés pour défendre leur intérêts collectifs.
D'ores et déjà, LEIA NAZIUNALE appelle les Corses :
- à s'enquerir auprès de leur municipalité d'éventuels projets d'implantation de migrants.
- à diffuser massivement toute information sur le sujet
- à se préparer à sanctionner électoralement tous les élus collaborant à "l'opération migrants" quelle que soit leur étiquette politique.
Un populu unitu ùn serà mai vintu !